En retenue...

Bonnie était en colle et devait aller voir son professeur.
Elle cogna trois coup puis attenda une réponse.
Non seulement elle s'en voulait à mort mais elle avait oublié son livre de magie noire en classe.Elle était fâcher contre elle-même,si jamais son professeur le dévouvrait,il lui poserait sûrement des questions.
Bonnie s'éclaircie la voix.

-Je peux entrer?

Erst s'avanca dans le long et sinueux couloir. Il était d'une humeur massacrante. Il vit Bonnie au loin entrer dans une pièce. Il marcha jusqu'a la porte et vit en grosse lettre :

Bureau du Ministre de la magie
et Professeur de Magie Grise

Il ne prit pas la peine de frapper et entra directement, lancant un regard cruel au professeur.

Erst regarda avec un air dégouté et outré. Il redevint impassible mais son regard flamboya d'une lueur machiavélique.

*croyez-vous réellement que je n'ai que CA a faire... de copier des lignes*

il se retourna et partit vers la sortie.

Bonnie s'assit.Et regarda Drian partir.

*Pfff...Comme si 'était un bon sorcier...Vous le laissez partir?Quel bon professeur...*

-Vous pensez réellement qu'il est un bon soricer,qui écoute ce que son professeur lui dit?

Elle prit la plume et commença à écrire avec un regard dégouté.Puis elle se rapella de son ivre,son niveau de stresse monta.

-Heu..Au juste,j'ai oublié un livre dans la classe...Vous l'avez?

Elle le regarda dans les yeux,peur d'être jugée.

Une lueur de meurtre s'insinua légèrement dans ses yeux.
Il eu un leger rire mouqueur puis resta assis sur la chaise.

*je suis au moins dans le bureau du premier ministre...cela peut m'être fort utile*

Il jeta un regard percant au professeur, puis un regard dédaigneur à Bonnie.
Avec une lueur démente dans les yeux il commenca à écrire.

*sciptmansol*

La plume glissa sur le papier, écrivant les phrases sans même faire une faute. Erst se laissa faire, tranquillement.

-chaque soir de cette semaine ? hé bien je vois que le premier ministre n'a rien d'autre à faire en ce moment...

il eclata d'un petit rire sournois.

-certes, certes, vous voulez m'entendre.. mais que dois-je dire ô profeusseur...

Il essaya de se liberer mais ne voulait pas utilisé de sort trop pointu devant Harner. Il se laissa faire, avec une pointe d'agacement tout de même.

-une persone de volontaire ? mais vraiment je suis flatté que vous preniez tant soin de moi....

Il observa Harner d'un oeil mauvais.

-oh mais voilà que ce cher ministre à des hallucinations...devenez vous paranoiaque mon cher ami... le surménage surement, c'est vrai il y a beaucoups à faire ces temps-ci...avec ces gens peu recommandable qui trainent un peu partout...

il eu un rictus déplaisant.

-tout raconté...quel grand mot , vous ne pensez pas ? dit-il d'un ton dégagé, le visage faussement sympathique.

-veuillez ne pas porter la main sur mon visage...je vous serait gré...

Il lanca un regard tueur à Harner.

-hé bien apparement la folie s'immisce dans la monde des sorciers...c'est malheureux , vraiment malheureux....
dit-il d'un ton ironique

[kyyya je me sens rouletttttttteee]


Erst essaya de ne pas avaler le liquide, puis esquissa un sourire mauvais et bu avec délectation la potion.

-je m'appel Erst, dit-il d'un air vague, et je suis ce qu'on appelle un meurtrier...

il regarda le directeur, une lueur verte étrange brillant au fond de ses yeux.

-pourqoi ? mais quelle question... une âme en perdition a besoin d'un corps pour pouvoir tuer...

il fixa le professeur.

-comment...?...l'homme est parfois imbécile, ce jeune homme était curieux et sa mère insouciante, pour le plus grand de mes bohneurs...

il eclata d'un rire démoniaque.

Erst baissa la tête puis eclata d'un grand rire fort et cruel.

-non...dit-il en relevant le visage, face a harner, ses yeux argenté le transpercant de toute part.

Erst sentit passer le coups. Il renifla dédaigneusement puis leva son regard, ses cheveux tombant sur son visage.

-en êtes-vous réellement sûr...cher ministre...

Il eclata d'un rire cruel.

Erst sentit les liens se détacher. Il resta quelques instant silencieux puis reprit d'une voix amusé et sanguinaire.

-je vois que vous avez comprit qu'il était inutile d'esperer...

Il sortit doucement, jetant un dernier regard condescendant au ministre.