En avant première dans la gazette des sorciers, le texte des droits de l'homme et du magicien !
Art. 1er. -
Les magiciens, magiciennes. Ceux dit sous le nom de " Cracmol ". Et les personnes demeurant dans le monde magiques, naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. -
Le principe de toute démocratie réside essentiellement dans le Peuple. Nul magicien(e)s, ne peut exercer d'autorité sur un citoyen, apars les persones chargé de la justice et du gouvernement
Art. 3. -
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque magicien(e)s n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres du gourvernement magique la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 4. -
La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Art. 5. -
La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous . Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les magicien(e)s étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Art. 6. -
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Art. 7. -
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux du magicien(e)s : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Art. 8. -
Le gourvernement se voit le droit d'imposé les lois essentiel, à la survie du monde magique. Tout ceux qui profanerons ces lois. Seront sévèrement punis.
Art. 7. -
Toute personne suspecté, d'éxercé des activités nuisantes à la libertée de chacun, se vera convoqué devant le tribunal. Le tribunal, désidera du sort de l'acusé.
Art. 8. -
La garantie des droits de l'Homme et du Magicien nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.